Je vous propose un extrait condensé mais entier (j'enlève les blablas en mon sens) d'un article de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle.
Il traite de « médecine du sens » ...
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
Association sans but lucratif
Rue du vieux Marché au grain, 48
1000 BRUXELLES
Lien de l'article entier: http://www.ipsn.eu/
L’acte thérapeutique est-il un acte d’amour ?
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Chère amie, cher ami,
Mais que veut dire l’expression « médecine du sens » ?
Impossible de me substituer au Dr Olivier Soulier qui l’explique avec sagesse dans ce documentaire, je peux essayer de vous en donner un aperçu sans toutefois déflorer le contenu du film.
Une médecine en quête de(s) sens
Depuis qu’elle existe, la médecine occidentale n’échappe pas à la critique. Et l'on reproche aux médecins eux-mêmes, souvent leurs certitudes, leur orgueil, et même de faire plus de tort que de bien.
La situation évolue, mais une part du problème reste la même. Notre médecine n’a plus rien à voir avec la boucherie mi-superstitieuse/mi-sadique, mais elle ne propose pas de schéma global et reste focalisée sur les symptômes et la maladie au point parfois d’oublier qu’elle s’adresse d’abord à des humains.
On ne cherche pas à aider la personne à guérir mais à lui retirer sa maladie. Autrement dit, on a pour la maladie les attentions que le patient n’a plus. La médecine actuelle, malgré ses moyens et sa technicité, paraît aveugle. Elle semble agir à côté du patient, sans le voir. Pas de vision globale de la vie et du patient.
Ces questions renvoient autant à la philosophie et la spiritualité – sujets sensibles – qu’à la médecine, d'où la réticence des médecins. Pourtant, tout ce qu'on leur demande c'est de prendre en compte le patient tel qu’il est, avec son histoire et son environnement. Claude Bernard disait : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout » [1].
On reproche aussi à la médecine d’être sourde à la souffrance des patients. Dans un livre récent [2], le Dr Daniel Ballesteros propose ce scénario :
« Il vous est peut-être déjà arrivé de ressentir des symptômes physiques assez répétitifs (palpitations, spasmes digestifs, brûlures gastriques, douleurs musculaires, maux de tête, vertiges, fatigue inexpliquée, etc.) qui vous inquiétaient particulièrement, et pour lesquels vous avez consulté votre médecin ». Quelques paroles réconfortantes plus tard, et après vous être vu remettre une ordonnance censée vous soulager, vous vous retrouviez, dans un délai plus ou moins long, avec les mêmes problèmes et les mêmes interrogations. Retour chez le généraliste. Après des examens complémentaires, et un éventuel recours à un ou plusieurs spécialistes, on vous a à nouveau rassuré en vous disant que vous n’aviez rien – ce qui évidemment ne vous rassurait pas du tout –, que cela passerait, ou qu’il faudrait vivre avec. De toute façon on ne pouvait plus rien pour vous. (…) Vous avez cherché une réponse en dehors de la médecine classique ».
Accords et désaccords
Le Dr Olivier Soulier, quant à lui, classe ces maux dans les maladies intermédiaires. Elles ne sont pas nettes et courtes comme dans les maladies aiguës, mais ne sont pas non plus considérées comme chroniques.
Les maladies signalent tout de même un déséquilibre chez le patient qui ne parvient pas à retrouver la santé. Selon le Dr Olivier Soulier, tout être humain doit s’accomplir selon un projet de vie qui lui est propre. La maladie apparaît lorsque nous dévions de ce chemin, comme pour nous ramener sur la bonne voie. Trouvons une partie de la solution par nous-même, cette solution est en nous, votre médecin doit en tenir compte.
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Les maladies aiguës (la fièvre, les diarrhées…) que l’on contracte souvent durant l’enfance sont donc en réalité des étapes nécessaires à notre bon équilibre. « Une journée de fièvre d’enfant vaut trois mois de psychothérapie chez l’adulte », précise-t-il. Olivier Soulier nous propose d’aller à la rencontre de nous-même et d’apprendre à écouter notre corps qui, souvent dit vrai. Nos maladies parlent de nos besoins mais le meilleur moyen de les éviter est d’arriver à identifier ces besoins suffisamment tôt.
Olivier Soulier propose un chemin ouvert, de réflexions et d’interrogations où le patient n’est ni réduit à un symptôme, ni enfermé dans un schéma tout fait. Au contraire, la médecine du sens nous invite à nous retrouver, à nous dépasser et à prendre le large.
Les nouveaux champs d’études et grands espoirs sont l’homéopathie, la science de la matière et de l’information ; et la médecine quantique. Avec l’espoir d’une meilleure compréhension du lien logique entre l’homme et la nature.
Augustin de Livois
[1] Phrase également attribuée à Antoine Béchamps
[2] Dr. Ballesteros, Se soigner, c’est écouter, Robert Laffont 2014
Fin du résumé
Je vous invite à lire mon commentaire (le 2è) à propos du Docteur Hamer
Portez-vous bien.